wicked lands

these violent delights have violent ends
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rp exploration & . le cratère

est -- le cratère
une séance d'urbex qui tourne mal au coeur du mystérieux cratère à l'est de l'île ? c'est le cas de le dire. vous ne vous attendiez pas à trouver une maison abandonnée non loin de là où tout a été entièrement détruit... le temps n'a pas encore balayé tous ses secrets mais oserez vous y mettre les pieds ?

exploration prise par @dandelion et @paradis

vous parvenez, non sans difficulté, à ouvrir la porte principale. devant vous se trouve à présent un escalier abîmé par des années sans entretien, après lequel vous pourrez choisir d’aller à droite ou à gauche. la première direction mène aux quartiers de la famille du propriétaire, la seconde à ceux du propriétaire en lui-même.
l’air dans la pièce est saturé de poussière, chaque meuble est recouvert par des draps blancs et le papier peint se décolle par endroit -- un pan de papier peint, en particulier, se décroche sous l’escalier.
à vous de décider quelle pièce visiter.

LE FONCTIONNEMENT

des éléments vous sont fournis dans la description des pièces. vous devez choisir lesquels prendre en compte pour diriger votre exploration. s'il vous faut utiliser un dé, nous vous le préciserons dans la description précédente. le cas échéant, poursuivez simplement.
notez que vous pouvez vous concerter hrp et ne faire qu'un post pour donner un résumé plus compact de vos actions, mais il vous est aussi tout à fait possible de faire deux posts. le pnj interviendra dès lors que vous souhaiterez examiner quelque chose et/ou changer de pièce ; si une pièce est inaccessible, une fois de plus, vous serez informés.
n'hésitez pas à contacter le staff en cas de trouble !
Lun 3 Sep - 0:26
Oracle
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l'absolu


rupture
fallait croire que même au fin fond de l'univers, il n'y avait pas moyen d'être seul.
t'étais irrité. horriblement énervé, mais d'une manière si calme que c'en était terrifiant ; j'en suis certain, tes yeux lançait du venin plus mortel que tout ce qui existe en ces terres. d'un côté, je te comprends : si tu aimes l'est, c'est pour son calme. pour les gens qui ne sont pas là et donc, pour tous les masques que tu ne dois pas porter. tous les robes de sourires que tu ne dois pas enfiler, tous les mots-diamants que tu ne fera pas couler jusqu'à les ressortir, t'arrachant la gorge sur leurs pointes acérées.
et d'un côté, c'est stupide. je veux dire, on sera toujours deux dans notre tête. techniquement ma tête. en vrai, plutôt la tienne.
je sais que tu en fais meilleur usage que moi, aucun soucis ; mais si toi tu cherches tant à être seul, moi j'aimerais bien être avec quelqu'un. parler, m'exprimer, comme pour prouver que j'existe encore un peu plus loin qu'au bout de tes neurones. de nos neurones. de mes neurones.
mais non : le destin n'est pas vraiment cruel, il te refuse ce que j'ai comme tu m'interdis ce que tu prends.
j'aurais aimé que ça me fasse sourire. ce n'est pas le cas.
je sens la déception dans tes muscles quand tu vois une silhouette devant un escalier plein de poussière. les probabilités étaient faibles : en haut d'un cratère à l'est, dans une maison abandonnée qui tient à peine debout, à l'exact même moment, se retrouver nez-à-nez avec un inconnu.
à tous les coups c'est la faute d'apollon, ouais. disons ça.
bon, t'avances ? ah. tu n'as pas décidé d'être sympathique aujourd'hui. parce que je n'ai pas l'intention de t'avoir dans les pattes ou de passer la nuit ici, tu vois. tu t'avances, passe souplement devant lui -c'est à peine si la poussière s'envole- avant de descendre énergiquement les marches. tu regardes un instant à droite, à gauche ; voit le papier peint qui s'enlève : tu le laisses à l'autre, il a l'air de bien vouloir détruire des choses. comme l'espoir ptdr.
tu files vers la gauche, au hasard. tu es là pour regarder, t'amuser, te changer les idées. peut-être que les vieilles choses te feront oublier, en ramenant à la vie des vieilles âmes, que tu n'as pas droit à la solitude.
moi, j'ai l'impression d'avoir des millénaires.
Mar 4 Sep - 12:40
Paradis
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(officieusement) ordre - espion itinérant, rapporteur de ce qu'il se passe aux quatre coins des terres
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(bénédiction) vision d'éden - fait oublier tout ce qu'il y a autour, concentre votre attention sur des petits détails des choses qui deviennent d'un coup si fascinantes que vous n'avez plus que des étoiles dans les yeux.

(réincarnation) hector - c'est apollon qui l'a fait revenir, comme s'il n'en avait pas eu assez comme s'il voulait en finir : hector, lui, est trop fatigué pour tout fuir. the bravest of the brave retourné sur terre, solitaire qui ne veut plus entendre aucun mystère dans cette existence funéraire, cinéraire.

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yvridio

altered
un pas appuyé contre l’entrée.
fissurer la façade du temps.
l’effort si peu à plaindre, qui s’estompe au gré des particules. et cette poussière comme une deuxième peau, dandelion – avivé par les chemins – la saisit entre ses doigts délicats. son corps de pierre ne bouge plus. un cœur d’enfant logé au creux de la poitrine. il admire la scène figée au carrefour des époques. il se sent interdit de sanctuaire, ose à peine respirer. particule suspendue à son tour.

c’est une voix dans l’embrasure, couperet à travers la lumière, qui fait vibrer l’atmosphère.

dandelion pivote sur ses pieds. découpée au bas de l’escalier vétuste, sa propre silhouette poussiéreuse semble s’évanouir dans le décor. il sourit, ravi d’une rencontre. sa voix douce qui déjà chantonne :
- oh bonjour, moi c’est… -

gemme d’imposture, qui ne parvient guère à en rajouter, et déjà la silhouette lui cloue le bec à coup d’avertissement. dandelion, que la rancune a délaissé – encore aurait-elle vécu, hausse les épaules quand on passe sans l’estimer. ses yeux de ciel embrassent les marches, la main à sa besace.
- bon, je vois que tu es parti pour un peu de recherche. si tu veux, je te rejoins, mais juste un instant… -

le temps d’effleurer un drap blanc, un contact avec la traversée des années. je suis là, je suis passé. tandis que petite pousse s’apprête à suivre l’inconnu, elle hésite. c’est que le chemin de droite l’attire, l’envie de suivre un compagnon ou bien rester à l’entrée, s’imprégner d’histoires muettes. dandelion, tiraillé, confie la suite au hasard et – enfin – s’avance.
- oh, qu’est-ce que c’est ? là en dessous ? -

déjà, vagabond amoureux dévie. sans chemin, sans balises, le voilà qui passe sous les marches, tend la main vers le papier peint, qui semble ployer sous l’abandon. chose insignifiante
et pourtant, le cartographe ne démord pas.
et l'autre qui se perd dans les vestiges
et comme il serait bon de l'accompagner
mais sait-on jamais, quelle constellation peut se trouver entre les murs d'une maison.
Sam 8 Sep - 2:09
Dandelion
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kosmo
est -- le cratère
pièce gauche: bureau (@paradis)

bureau impeccable, tout est soigneusement rangé. les papiers semblent indiquer un homme autrefois important et opulent ; des plans de l’institut traînent dans l’un des tiroirs. le troisième tiroir est verrouillé, il vous faut une clé pour l’ouvrir. rien d’intéressant dans cette pièce à priori, vous pouvez retourner sur vos pas avec un dé action. si vous échouez, vous tomberez dans un trou du plancher.

pièce sous l'escalier: cave (@dandelion)

vous descendez jusque dans une pièce supposément cachée (ou, en tout cas, souterraine). dans celle-ci, qui ressemble à un laboratoire (borderline salle de torture), différents coins attirent votre attention. sur une table d’opération, un cahier suspect et tâché de ce qu’on suppose être du sang ; plus loin, sur un bureau, des photos abîmées par le temps et l'abandon.
Sam 8 Sep - 12:15
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l'absolu


rupture
tu ne lui as même pas laissé le temps de s'exprimer. à vrai dire, je crois que tu ne lui as même pas donné l'honneur de s'imprimer sur tes rétines : en regardant bien dans nos souvenirs, je crois qu'il a une chevelure blanche, un peu grisée, comme les cendres d'un volcan essoufflé, qui se sent trop vieux pour cracher de la lave, qui aimerait faire de la neige plutôt que de la mort.
mais toi, tout ça, ça ne t'intéresse pas. ou du moins, c'est ce que tu dis. moi, je sais que c'est faux.
parce que tu aimes les arts, et la poésie, et les histoires, et la guerre -je crois que tu m'as convaincu, au fil des ans, et que je l'admets maintenant : ce n'est qu'un autre genre de tragédie. c'est moderne, dit-on, quand l'interactivité s'ajoute au mélange. quelle ingéniosité, alors, que de rendre une scène aussi grande que toute la terre entière.
la pièce est plutôt vide. déception ; ce n'est pas ce que tu aurais voulu voir. alors tu fouilles, comme pour chercher le bastringue qui doit exister quelque part. tu en es certain. en ouvrant les tiroirs, tu tombes sur des plans. c'est l'institut -tu connaîtrais ces murs par cœur, après toutes ces vies passées à y grandir. ta bouche se ressert en un tic de déplaisir. loin de tout, au bout de l'est, caché au fond d'un cratère, cette maison pouvait être un refuge parfait pour des espions.
ah, l'ironie, n'est-ce pas ?
et -le dernier tiroir ne veut pas céder. tu essaies plusieurs fois, sans succès. il doit y avoir une clé quelque part, alors tu cherches un instant avant de te rendre à l'évidence : tout est vide, ici. tu n'as d'autres choix que de revenir sur tes pas. ça te semble judicieux, aussi, d'aller voir ce que l'autre a bien pu faire. évidemment, tu ne fais pas confiance à un inconnu -et s'il trouve la clé, tu lui prendra sa victoire.
de tes fines jambes, tu marches assurément jusqu'à votre point de rencontre.


edit PTDR C'EST QUOI CE DE ET CETTE IMAGE
je voulais que para tombe moi :(
blague à part, du coup il descend et il rejoint dandelion.
Dim 9 Sep - 3:32
Paradis
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Le membre 'Paradis' a effectué l'action suivante : Lancer de dés


'cratère' :
rp exploration & . le cratère EHPYFEj
Dim 9 Sep - 3:32
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l'absolu

altered
tu sais leo, ces marches qui mènent au fond de la terre, je ne les ai jamais aimées. jamais vraiment. chaque fois, je crois descendre vers toi, ces après-midi sans soleil où tu m’attendais là-bas. je t’entends rire, encore. ah quel naïf, oui c’est que ce tu me dirais. ça ne fait rien.
qu’elles soient en ruines ou bien debout, peu importe l’endroit, ces marches de sous-sol moi je n’aime pas. dans ta cave, le ciel de nuit t’était interdit, et je sais que tu t’en attristais. je ne le supportais pas.

ça commence à devenir un peu effrayant. et à descendre derrière le mur, leo comme je voudrais que tu sois ici. avec ta poussière à toi, tellement coupante qu’elle en était rassurante.  

il est resté immobile. une pièce glaciale à son cœur, qu’il ne peut sourire de la découverte, et balance entre l’aventure et l’horreur. dandelion, celui qui s’excite d’une moindre civilisation, mais trop doux trop chimérique pour s’accrocher à une gâteuse réalité. il frissonne. soudain, il a froid.

c’est bourré d’aveux invisibles, il a l’impression d’écraser. le vagabond hasarde sa tempe-cœur, battante, il faut se détendre ce n’est que le passé. il n’y a plus de guerre. plus de sang. il faut se persuader. dandelion – la tête haute, l’esprit recroquevillé – se penche sur une table d’opération. il a l’air grand, ainsi droit, et quand il hâte des doigts sur le cahier abandonné il ne se dérobe pas. et quand il entend l’écho étouffé de foulées, le cartographe se retourne, si tranquille, qu’il semble né des forces naturelles. grands dieux, si c’était l’institut… non non non
oh c’est toi ! tu tombes bien, regarde ces pages, elles ont l’air noirci de… sang peut-être ?

et la gemme délicate s’éloigne de la table, car elle n’a ni courage ni force d’élucider le mystère par ses mains. dandelion recule que son regard se perd aux alentours, calme inquiétude. ((partir))
on a souffert ici, on a souffert pour rien. j’en suis certain. il s’approche du bureau à pas léger, comme s’il voulait effacer sa trace, ne rien laisser de ce lieu en lui. petit vagabond qui ne tient qu’à cette distance unique, celle entre ses fleurs de souhait et la violence. ce n’est pas sa scène. pas son éternelle histoire. alors il observe les photos fanées sur le bureau. dommage. que peuvent-elles bien dire ?

comme s’il s’agissait d’une pomme des hespérides, dandelion soulève l’un des clichés tandis que son corps même se penche vers le papier jauni.
qu’est-ce que tu crois qu’il s’est passé ici ? le cahier, l’endroit, les instantanés : on dirait que le temps n’a pas voulu tout effacer. peut-être qu’on a voulu trouver moyen de changer les rituels en quelque façon ? il y avait un truc là-haut ?

dandelion, toujours, parle trop. par amour, par envie, par lâcheté et par crainte.
Mar 11 Sep - 4:36
Dandelion
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est -- le cratère
sous-sol: la cave

alors que @paradis atteint le sous-sol, un fragment du sol qu'il a foulé dans le bureau s'écroule et le blesse (note: tu peux décider de la gravité de la blessure). sur le cliché figure les fondateurs de l'institut d'eskeia, reconnaissables par les résidents et ex-résidents pour avoir été affichés à l'entrée du bâtiment. le cahier que @dandelion inspecte, quant à lui, est particulièrement abîmé - des pages manquent, d'autres s'effritent sous le doigt. dedans, l’auteur utilise un vocabulaire très confus et semble hâtif, la plupart des mots sont illisibles. ceux qui semblent revenir le plus: pardon, enfants, vols. il semble regretter des actions implicites.

danger: le fracas attire l'attention des autorités alentours, il ne vous reste donc plus beaucoup de temps pour explorer. il vous est impossible d'emporter le cahier de par son état désastreux, vous pouvez choisir de rester pour le feuilleter (et, dans ces cas-là, tirer un dé - un échec signifiant que les agents vous ont rattrapés) ou encore partir à la hâte, en laissant toutes les informations derrière vous.
Jeu 13 Sep - 10:18
Kos
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l'absolu


carbone
la pièce s'étale devant ses yeux : ici, il y a bien plus de vie. on le voit aux traces de sang. aux choses abandonnées. aux rayures d'usage, et à tout ce qu'on peut imaginer.
ça ne te fait pas vraiment froid dans le dos. je pense que tu n'as jamais torturé quelqu'un, et que tu ne le fera pas, mais que ça ne te dérange pas foncièrement. ceux qui sont dans la guerre l'ont demandé, d'après toi. on ne récolte que ce que l'on peut semer.
et ta curiosité cravache ton cerveau : tu veux tout voir. tout lire. l'autre parle, encore ah tu aimerais être seul, ne pas avoir cette distraction nasillarde dans un coin de ta conscience ou ces doigts maladroits qui pourraient tout faire brûler mais il est là et le restera sûrement un bon moment. alors autant en tirer profit. je ne sais pas. tu penserais à quoi ? et tu évites sa question comme un maître de l'illusion (ah quelle ironie), en cherchant silencieusement une possible clé pour déverrouiller ce satané tiroir que tu n'oublies pas.
tu reconnais les visages sur les photos. tu les as vu tellement de fois, à travers tes vies -moi, ça ne me dit rien, mais l'air d'alarme qui suinte par l'acidité soudaine de notre salive me raconte assez de choses. L'Institut, donc. Rien de plus à en tirer, tu bouges jusqu'à l'autre -et le ciel te tombe sur la tête.
ça pique. tu saignes, à vrai dire, juste au coin de l'arcade sourcilière : en soit, ce n'est pas bien grave, mais le sang afflue comme pour toute blessure à la tête et tu te maudis de ne pas être plus rapide, plus prudent, plus résistant. le fracas s'arrête et tu te tiens au milieu de la poussière. ça a sûrement dû alerter des gens. tu t'avances vers le bureau. autant ne pas gaspiller de temps. et tu lis, tu lis, tu lis, jusqu'à tout graver au fond de notre mémoire.


& c'est daddy qui tirera le dé !!
Mer 19 Sep - 15:05
Paradis
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(réincarnation) hector - c'est apollon qui l'a fait revenir, comme s'il n'en avait pas eu assez comme s'il voulait en finir : hector, lui, est trop fatigué pour tout fuir. the bravest of the brave retourné sur terre, solitaire qui ne veut plus entendre aucun mystère dans cette existence funéraire, cinéraire.

(rp) miracle, pyres, rain, talks
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